Je ne vais pas vous parler de danses traditionnelles mais bien de danses de la rue ...
Avant l'actuel coupé décalé qui fait fureur dans toutes les soirées africaines (même que ce n'est plus à la mode, aujourd'hui on parle plutôt de bobaraba, et je suis sûr que je suis en retard car ça va très vite ... il doit y avoir un nouveau truc), il y a eu la prudencia, le moumamou, le sentiment môkô, le mapouka, et j'en passe ...
Il faut savoir qu'en Côte d'Ivoire (CI), c'est quasiment 52 nouvelles danses chaque année, autant de musiques et autant de chanteurs, danseurs ou musiciens : c'est un vrai problème de société !
Nous avons l'équivalent en France : c'est la Star Ac' !
Tout le monde se dit chanteur et in fine, 1% sera reconnu mais 100% auront fait du bruit une fois dans leur vie 
Comme à Cuba, les sujets tournent autour de la vie de tous les jours : les commérages, les filles, les mecs, le ***, la politique, l'actualité, etc ...
D'une façon ou d'une autre, les différents artistes vont marquer l'histoire et faire évoluer ce phénomène appelé à l'origine le zouglou !
De la même façon, si à l'origine les paroles des chansons sont faciles à comprendre de tous, une langue de la rue >>> le nouchi <<< va naître et évoluer : ce qui va rendre difficile la compréhension des chansons aux non-initiés !
Vidéo clip officiel d'un morceau mythique
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Ici, c'est l'histoire de la vie étudiante : de sa beauté, de ses problèmes, de la fête, de la galère, etc ...
La suite ... au prochain épisode
ça c'est de la bonne soudure ! Merci.
